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Avant-après

Implants mammaires

Cas n°1

mammaire-graphique-segments.jpg

Avant

Patiente de 22 ans présentant une hypotrophie mammaire moyenne, avec asymétrie et légère ptôse.

 

On note un défaut de tension de la peau et une faible projection du sein. De plus, il existe une dépression sur le sein, en avant de l’aisselle et de la partie supéro- interne du bras, qui est assez prononcée et qui devra être comblée par la prothèse.

Chez cette patiente, l’HTA mesure 16,5 cm, le segment I :17 cm, le segment II : 8 cm et le segment III : 3,5 cm.


Ainsi, le segment III est trop court et doit être allongé pour mesurer 6 cm après l’opération. C’est en abaissant le sillon sous mammaire lors de la pose de la prothèse que l’ on augmente la longueur du segment III.

Après

Dans ce cas d’augmentation mammaire, implantation de prothèses de 275 cc de volume, remplies de gel de silicone, rondes, lisses et posées en arrière du muscle Grand Pectoral par une voie d’abord hémi aréolaire inférieure.


Les prothèses sont d’un diamètre assez important (13,1 cm) de manière à permettre un abaissement du sillon sous mammaire vers le bas et, en même temps, un comblement de la dépression supéro- externe, vers le haut , juste en avant et au-dessous de l’aisselle. En revanche, la hauteur des prothèses est faible (2,7 cm) de façon à donner un aspect très naturel (marque Mentor*).


Ma patiente est ravie par les lignes dynamiques et naturelles de sa nouvelle poitrine qui correspondent parfaitement à son souhait préopératoire que ce soit en position immobile qu’en mouvement.

La poitrine de ma patiente après l’intervention. On constate les similitudes avec la photo du modèle et donc l’importance des photos pré opératoires qui prennent en compte le volume et aussi la forme tant désirés. La fameuse manœuvre de la prothèse mise dans le soutien-gorge sous un vêtement et que beaucoup de chirurgiens pratiquent encore me semble vraiment obsolète…La simulation informatique est intéressante mais il manque l’acte de recherche et d’identification qui me semble très important à la réussite tant morphologique que psychologique de cette intervention.

AP-protheses-modele.jpg

Cas n°2

Avant

Patient de 20 ans, présentant une hypotrophie mammaire modérée avec :


–un défaut de projection des seins ;


–un pôle supérieur trop plat, sans bombement ;


–une absence de « pigeonnement » interne ;


–une dépression très marquée en avant de l’ aisselle (encore appelée « coup de hache externe ») ;


–un sillon sous mammaire haut situé, le segment III étant trop court.

Après

Mise en place de deux prothèses de 350 cc, de marque Mentor*, remplies de gel de silicone, rondes, à la paroi lisse, posées en arrière du muscle Grand Pectoral. Ces prothèses sont larges (12,8 cm de diamètre) et modérément projetées (4 cm de hauteur) donc assez plates, et donnant ainsi des résultats plus naturels .


Ces photos sont prises 3 mois après l’intervention : l’aspect est encore un peu tendu et le pôle inférieur du sein manque de souplesse et de « déroulement ».


L’aspect ne peut être jugé qu’un an après l’intervention et je dirais même que l’aspect définitif ne s’évalue qu’à la fin de la 2 ième année.
Ma patiente est ravie d’autant que, grâce à ces prothèses rondes et lisses, ses seins glissent naturellement vers l’extérieur lors du passage en position allongée.

Cas n°3

Avant

Patiente présentant une absence presque complète de glande mammaire et une aréole d’un diamètre très faible.

 

La couche adipeuse sous cutanée est aussi très fine.

Après

Pour traiter ce cas d’hypotrophie mammaire majeure, mise en place de prothèses remplies de gel de silicone, de 300 cc (correspondant à une augmentation d’un bonnet et demi), lisses, en position rétro pectorale, d’un diamètre de 12 cm et d’une projection de 3,6 cm.


La voie d’abord est double : axillaire et hémi mamelonnaire supérieure à cause de l’étroitesse des aréoles qui n’autorisent pas le passage des prothèses choisies qui sont trop volumineuses. Les prothèses sont introduites par les aisselles et, dans ce cas, j’ai ajouté une courte incision mamelonnaire pour abaisser minutieusement le sillon sous mammaire et coaguler tous les vaisseaux sanguins du pole inférieur du sein. Dans certains cas, j’ai recours à l’endoscopie.


À noter qu’ici, les prothèses sont posées en arrière du muscle Grand Pectoral mais aussi en arrière des muscles Serratus qui recouvrent les faces latérales du thorax de façon à éviter au maximum les plis latéraux surtout en position penchée en avant ou latéralement (technique personnelle).


Ma patiente est très satisfaite car ses seins sont souples et relativement mobiles. Il n’existe pas de plis cutanés en position penchée vers l’avant.

Cas n°4

Cas n°4

Avant

Une patiente de 18 ans présentant une hypotrophie mammaire moyenne, un déficit de volume et une forme un peu étriquée surtout dans le pôle inférieur du sein.

Après

Dans ce cas d’hypotrophie mammaire moyenne, implantation de prothèses mammaires de 400 cc, d’ un diamètre de 12,2 cm et de 5 cm de projection. Ce volume assez important est désiré par ma patiente et validé.


Ces prothèses sont remplies de gel de silicone, rondes, lisses, posées par voie d’abord hémi-aréolaire inférieure, en position rétro pectorale.
On note un abaissement du sillon sous mammaire et un allongement conséquent du segment III. Il existe presque une légère ptose, ce qui donne un aspect très naturel.


De plus, comme à chaque fois, la dépression, située en avant de l’aisselle et de la partie supérieure du bras, que j’ai appelée le « coup de hache externe », est parfaitement comblée ce qui accentue encore le naturel du résultat et que beaucoup de chirurgiens, à mon sens, oublient.


Ma patiente est très satisfaite d’autant que ses seins sont très souples et extrêmement mobiles.

Cas n°5

Avant

Jeune fille de 17 ans, très complexée par le volume et surtout la forme de sa poitrine.


En effet, on note un « coup de hache externe » très marqué et un sillon sous mammaire haut situé avec une absence quasi complète de pôle inférieur du sein.

Après

Cette hypotrophie mammaire est traitée par la mise en place d’implants mammaires de 400 cc, remplis de gel de silicone, lisses, posés en position rétro pectorale, avec une loge élargie en dehors, autorisant un déplacement de la prothèse vers l’extérieur lorsque la patiente s’allonge. L’effet obtenu est très naturel, notamment en mouvement.


La longueur du segment III a été quasiment doublée. Elle atteint 6,5 cm ce qui correspond au tiers de la longueur de H T A (hémi-base thoracique antérieure) en accord avec les canons de beauté du sein que j’ai définis précisément suite à l’expérience de très nombreuses mesures.

Ma jeune patiente est ravie, sa nouvelle poitrine s’harmonisant au reste de son corps et présentant des courbes très naturelles et très souples en position immobile ou en mouvement.

Cas n°6

Avant

Dans ce cas d’hypotrophie mammaire moyenne, implantation de prothèses mammaires de 400 cc, d’ un diamètre de 12,2 cm et de 5 cm de projection. Ce volume assez important est désiré par ma patiente et validé.


Ces prothèses sont remplies de gel de silicone, rondes, lisses, posées par voie d’abord hémi-aréolaire inférieure, en position rétro pectorale.
On note un abaissement du sillon sous mammaire et un allongement conséquent du segment III. Il existe presque une légère ptose, ce qui donne un aspect très naturel.


De plus, comme à chaque fois, la dépression, située en avant de l’aisselle et de la partie supérieure du bras, que j’ai appelée le « coup de hache externe », est parfaitement comblée ce qui accentue encore le naturel du résultat et que beaucoup de chirurgiens, à mon sens, oublient.
Ma patiente est très satisfaite d’autant que ses seins sont très souples et extrêmement mobiles.

Après

Dans ce cas d’ hypotrophie mammaire moyenne , il a été implanté des prothèses de gel de silicone de 375 cc, de 14,4 cm de largeur et de 3,2 cm de projection donc relativement plates. Il s’agit de prothèses rondes, lisses, mises en place par une voie d’abord hémi-aréolaire inférieure, cicatrice qui est encore un peu visible au vu de la précocité du cliché réalisé.


Le segment III est déroulé avec un pôle inférieur du sein bien rond et un « coup de hache externe » qui a complètement disparu. La présence de cette dépression en avant de la partie supérieure du bras signe la présence de prothèses mammaires quand elle persiste après mise en place d’implants.


Notre patiente est très satisfaite du résultat, ses prothèses restant très mobiles latéralement et sa poitrine très souple à la palpation.

Cas n°7

Avant

Patiente de 35 ans, qui présente, à la suite de deux grossesses, une légère fonte glandulaire (passage d’un bonnet C à un bonnet B).


Cette patiente désire retrouver le volume d’antan.

Après

Mise en place de prothèses de 200 cc, remplies de gel de silicone, larges, de diamètre de 11,8 cm pour une projection faible de 2,4 cm. Ces prothèses lisses, sont posées en arrière du muscle Grand Pectoral par une voie d’abord hémi- aréolaire inférieure.


Cette patiente n’aime ni l’aspect pigeonnant, ni le débord latéral trop marqué.


Elle est ravie par ce résultat naturel, souple, et qui correspond exactement à la poitrine de ses 20 ans.

Cas n°8

Avant

Patiente de 25 ans, présentant une hypotrophie mammaire associée à une forme typique de petits seins : sillon sous mammaire trop haut situé et dépression latérale en regard de l’aisselle et de la partie haute de la face interne du bras très marquée.


De plus, elle présente une asymétrie mammaire avec un sillon sous mammaire droit plus marqué et plus haut situé que le gauche.
Ma patiente désire une augmentation de volume importante.

Après

Le traitement de cette hypotrophie mammaire a imposé l’implantation de prothèses mammaires de 400 cc, remplies de gel de silicone, rondes, à paroi lisse, posées en position rétro pectorale, par voie d’abord hémi-aréolaire inférieure.


La symétrie a été correctement jugulée et les cicatrices sont encore visibles, les clichés étant pris seulement 2 mois après l’opération. L’aspect définitif des cicatrices ne peut être jugé qu’un an après l’opération et doivent faire l’objet de soins quotidiens pendant au moins 8 mois.


La patiente est ravie du résultat. Son thorax est maintenant en harmonie avec le reste de son corps et son complexe a complètement disparu.

Cas n°9

Avant

Patiente de 28 ans, qui après une grossesse, a présenté une légère fonte glandulaire. Il existe surtout une asymétrie des seins avec un sillon sous mammaire droit très haut situé et une ptose de ce même côté.


La patiente souhaite une augmentation de volume modéré mais surtout une correction de cette asymétrie.

Après

Pour la correction de cette hypotrophie mammaire, nous avons implanté des prothèses de 325 cc, remplies de gel de silicone, rondes, d’un diamètre de 12,3 cm pour une projection de 3,8cm correspondant à des prothèses de profil modéré ou peu projeté.


Les prothèses ont été posées en arrière du muscle Grand Pectoral , par voie d’abord hémi-aréolaire inférieure.


De façon à symétriser et à effacer le sillon sous mammaire droit, j’ai proposé une seconde voie d’abord sous-cutanée, descendant de la voie d’ abord aréolaire initiale,  de manière à libérer les adhérences très ténues s’ étendant sous la peau du sillon .


Le résultat satisfait pleinement ma patiente. Les seins sont naturels, souples et mobiles, en accord avec les canons de beauté du sein que j’ai précédemment définis.

Cas n°10

Avant

Patiente de 41 ans, ayant deux enfants, présentant une hypotrophie mammaire moyenne avec asymétrie ressemblant au cas 8.

Après

Le traitement de cette hypotrophie mammaire a consisté en la pose de prothèses de 400 cc, remplies de gel de silicone, lisses, en position rétro pectorale, de profil modéré (14,5 cm de diamètre pour seulement 3,2 cm  de projection), les implants de profil modéré donnant toujours, à mon sens,  de plus beaux résultats .


Le sillon sous mammaire a été largement abaissé et a nécessité une seconde voie d’abord sous-cutanée afin de l’ affaisser complètement et d’éviter qu’il soit visible en postopératoire. Le « coup de hache externe » est parfaitement comblé.


Selon le désir de ma patiente, ses seins sont pigeonnants et il persiste encore une légère asymétrie dont la patiente a été prévenue avant l’opération et qui n’a pu être complètement corrigée par la mise en place des implants. Les cicatrices sont encore visibles, les clichés étant effectués seulement 2 mois après l’opération. L’aspect des cicatrices ne pourra être apprécié qu’au bout d’un an d’évolution.


Ma patiente est ravie du résultat, conforme à son désir préopératoire. Son complexe a complètement disparu. Elle a aussi mis au monde un troisième enfant et la lactation a été possible ce qui n’est pas toujours, ni réalisable, ni même souhaitable.

Cas n°11

Avant

Patiente de 21 ans, présentant une hypotrophie mammaire relative avec asymétrie, le sillon sous mammaire gauche étant plus haut que le droit.


Le segment III ne mesure que 4 cm, alors que, selon les canons de beauté des seins, il devrait mesurer 7 cm. La patiente possède un thorax très large doté d’une hémi-base thoracique à 20,5 cm (pour une moyenne à 16,5cm), ce qui autorise une augmentation de volume importante qui est souhaitée par ma patiente.

Après

Cette hypotrophie mammaire a été traitée par la mise en place d’implants de 500 cc, de profil modéré (15,2 cm de diamètre pour une hauteur de 3,6 cm). Il s’agit de prothèses remplies de gel de silicone, rondes, à paroi lisse, posées en position rétro musculaire, par voie d’abord hémi-aréolaire inférieure.
 

Le résultat à 6 mois montre la persistance d’une légère asymétrie avec notamment l’aréole gauche légèrement plus haut située que la droite, ce qui était le cas avant l’intervention et dont j’avais prévenu ma patiente.


En revanche les deux sillons sont situés au même niveau.


Ma patiente est très satisfaite.

Cas n°12

Avant

Patiente de 55 ans présentant une hypotrophie mammaire surtout marquée au pôle inférieur des seins.


Les sillons sous mammaires sont trop haut situés et le segment III est trop court.

Après

Cette hypotrophie mammaire a été traitée par implantation de prothèses de gel de silicone de 300 cc de volume ce qui correspond à une augmentation d’environ un bonnet et demi. Ces prothèses sont assez plates, de 13,5 cm de diamètre pour une projection de 2,7 cm, rondes, à la paroi lisse, posées en position rétro musculaire.


On note que les sillons sous mammaires ont été abaissés, le segment III passant de 3 cm à 6 cm, en accord avec les canons de beauté des seins. En effet, le segment III doit mesurer un tiers de l’hémi-base thoracique antérieure qui est, chez cette patiente, de 18 cm (moyenne : 16,5 cm). Pour accéder à plus de précisions, consultez le schéma du cas 1 proposé ci-dessus.


Les courbes de la poitrine sont harmonieuses et naturelles. Beaucoup de souplesse à la palpation et de mobilité aux mouvements sans aucun pli visible quelles que soient les positions du thorax.

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