Blépharoplastie
Photos avant - après - Dr Patrice Hilligot Paris
Tous ces résultats photographiques n’ont qu’une valeur informative. Les variabilités anatomiques individuelles sont nombreuses et influent sur le résultat final.
Une patiente ne peut revendiquer un résultat comparable à telle ou telle photo. C’est en consultation qu’ il vous sera défini précisément les résultats que vous êtes en droit d’attendre, tant sur le volume que sur la forme, en corrélation avec vos desiderata.
Blépharoplastie uniquement des paupières supérieures chez une jeune femme au magnifique regard mais qui était alourdi par un « couvercle » supérieur épaissi. Le piège, dans ce cas que j’aime beaucoup, était d’enlever trop de peau et de « creuser » des paupières supérieures qui avaient toujours été un peu épaisses et lourdes. Il faut rarement modifier le regard chez les jeunes…
Dans ce cas :
• exérèse de peau sur les paupières supérieures surtout en dehors;
• pas d’exérèse du muscle orbiculaire ;
• pas d’exérèse de graisse sous musculaire, sauf un tout petit
• peleton graisseux en dedans, du côté nasal.
Le regard est magnifié.
Blépharoplastie des 4 paupières avec remise en tension musculaire des paupières inférieures et des sourcils par lifting temporal.
Le magnifique regard de ma patiente était assombri par, du haut vers le bas :
• des sourcils tombants;
• des paupières supérieures lourdes,
aspect encore accentué par la chute des sourcils ;
• le rebord ciliaire ou bord supérieur des paupières inférieures arciforme et concave vers le haut, surtout à droite, à la limite de l’ectropion (qui aurait encore été aggravée par une blépharoplastie classique) : c’est insister sur l’ importance d’obtenir un rebord ciliaire bien horizontal, rectiligne, afin d’aboutir à un aspect d’yeux en amande et imposant une remise en tension externe des muscles orbiculaires;
• des poches inférieures associées vers le bas à un sillon marquant la jonction entre paupières inférieures et joues.
Dans ce cas :
• sourcils : rehaussement par lifting temporal avec une incision invisible, située dans le cuir chevelu ;
• paupières supérieures: exérèse de peau et de graisse, sans toucher aux muscles : l’exérèse musculaire aurait eu pour conséquence de « creuser » les paupières supérieures et modifier complètement le beau regard de cette patiente. Cette faute est encore couramment commise par des chirurgiens non entraînés.
• paupières inférieures : lifting externe de la paupière inférieure et de son bord ciliaire ;_ablation des poches graisseuses par voie interne, conjonctivale, donc sans incision sur la peau de la paupière;_comblement du sillon situé entre paupière inférieure et joue par injection de graisse ou lipofilling.
Le regard est magnifié par une intervention complexe et énigmatique car sans incision visible et qui est très éloignée de l’ intervention classique de blépharoplastie.
Blépharoplastie supérieure et inférieure chez une jeune patiente présentant un regard assombri par :
• sur les paupières inférieures : un léger excès de peau en dehors et, en dedans, près de la racine du nez, une petite masse graisseuse arrondie qui bombe sous la peau. En revanche, les sourcils sont bien placés et leur forme harmonieuse;
• sur les paupières inférieures : une peau marquée par des ridules superficielles et un manque de tonicité. Vers le bas, on note un sillon marquant la limite entre paupière et joue. En revanche, le bord ciliaire supérieur est relativement tendu et rectiligne.
Le traitement est personnalisé:
• paupières supérieures: exérèse d’une fine languette de peau sans toucher, ni au muscle, ni à la graisse sous musculaire (sauf au niveau d’une petite zone arrondie en regard de la racine du nez) afin d’ éviter de trop « creuser » les paupières supérieures, à l’origine d’un regard triste et vieilli, ce qui est encore trop souvent constaté entre les mains de chirurgiens non entraînés;
• paupières inférieures : injection de graisse ou lipofilling de type nanofat qui a double effet : _ comblement des ridules superficielles et du sillon inférieur ;_ tonifiant et lissant de la peau par son apport en cellules souches.
Pour la petite histoire, j’ai opéré cette patiente il y a plus de 20 ans, juste après avoir participé au congrès de Boston où le Dr Sydney Coleman présenta pour la première fois sa technique révolutionnaire d’injection de graisse.
Trouvant cette technique séduisante, je l’ai immédiatement intégré à mon arsenal thérapeutique, alors qu’il a fallu de nombreuses années avant que l’on commence à en parler en France.
Être à l’écoute, précurseur, et toujours vouloir progresser…
Blépharoplastie des paupières supérieures et rehaussement des sourcils par lifting temporal. Simple, greffe graisseuse (nanofat) sur les paupières inférieures.
Jeune femme de 39 ans au regard terni par :
• une chute de la queue du sourcil ayant pour conséquence un alourdissement de la paupière supérieure par excès cutané sans excès graisseux ;
• des paupières inférieures parsemées de quelques ridules et manquant de tonicité.
Le traitement est personnalisé:
• lifting temporal, énigmatique, sans incision visible car cachée dans le cuir chevelu ;
• blépharoplastie supérieure avec simple exérèse asymétrique de peau, l’ excès étant modéré et externe: pas d’exérèse de graisse ni de muscle orbiculaire;
• greffe graisseuse sur les paupières inférieures comblant les ridules et tonifiant la peau grâce à l’apport de cellules souches. Le bord libre des paupières est retendu par l’action du lifting temporal.
Ma patiente est ravie car elle retrouve ce magnifique regard avec yeux en amande ou « fox eyes » qui l’individualise.
Patiente de 45 ans au regard affadi par des poches sur les paupières inférieures. Les paupières supérieures sont un peu épaissies, mais l’ont toujours été, et ne gênent pas ma patiente.
Le traitement personnalisé est le suivant : blépharoplastie des paupières inférieures de technique classique avec :
• exérèse des poches graisseuses sous cutanéo musculaires par incision cutanée située au raz des cils ;
• exérèse de peau au raz du bord ciliaire, très proche des cils et en ménageant leurs bulbes. Cette exérèse est maximale à l’ angle externe de l’œil, encore appelé canthus externe, et s’étend sur 5 mm en dehors, sans tendre la peau palpébrale vers l’extérieur ce qui évite d’arrondir l’angle externe de l’œil qui doit rester très aigü.
Une faute commise par les chirurgiens non expérimentés est d’arrondir, même légèrement, l’ angle externe de l’œil, ce qui réduit la forme d’ yeux en amande ou « fox yes », tant recherchée.
Patiente de 67 ans au regard effacé par :
• sur les paupières supérieures : un excès cutané, les sourcils étant de forme asymétrique mais bien fixés ;
• sur les paupières inférieures : des poches graisseuse volumineuses mais s’accompagnant d’ un sillon sous palpébral (entre paupière et joue) assez peu marqué. Les yeux ont gardé leur forme en amande qu’il faudra conserver.
Le traitement sera personnalisé :
• paupières supérieures : exérèse d’une languette cutanée à minima de façon à éviter de creuser les paupières, ce qui n’est en aucun cas un facteur de rajeunissement. C’est ce que l’on appelle récemment, la blépharoplastie supérieure conservatrice que je réalise depuis au moins 15 ans;
• paupières inférieures : incision au raz des cils et ablation des poches graisseuses avec exérèse de peau à minima sans mise en tension externe excessive afin d’ éviter d’arrondir l’ angle externe de l’œil.
Le regard est rajeuni sans modification de la forme en amande des yeux. Une photorejuvenation ou photo rajeunissement au laser CO2 pulsé est souvent réalisée par la suite pour tonifier l’aspect de la peau et effacer les petites ridules superficielles.
Patiente de 49 ans présentant :
• sur les paupières supérieures : un excès cutané et graisseux, les sourcils étant eux bien fixés vers le haut et asymétriques;
• sur les paupières inférieures : un léger excès graisseux mais surtout un sillon sous palpébral (jonction en bas entre la paupière inférieure et la joue) très marqué avec affaissement de la pommette. Cet aspect de ptôse retentit sur le bord ciliaire de la paupière qui prend une forme concave vers le haut, surtout au niveau de l’œil gauche et qu’il faudra absolument éviter d’accentuer lors de l’intervention.
Un traitement personnalisé est proposé:
• paupières supérieures: exérèse d’une languette cutanée avec ablation de la graisse sous-jacente, un peu insuffisante en dedans;
• paupières inférieures: exérèse des poches graisseuse par incision cutanée au raz des cils et en enlevant peu de peau. Remise en tension de la peau et du muscle orbiculaire par lifting temporal afin de combler le sillon sous palpébral et rehausser la pommette.
Le regard est retonifié et garde la même forme en amande(fox eyes), malgré la faiblesse du tarse(« squelette » cartilagineux) des paupières inférieures.
Patiente de 58 ans au regard affadi par :
• sur les paupières supérieures : un excès de peau et de graisse en interne, les sourcils étant bien en place ;
• sur les paupières inférieures: des poches graisseuses et un excès cutané avec un « squelette » cartilagineux encore appelé tarse, peu tonique et exigeant d’ enlever peu de peau sous peine de voir se constituer un ectropion ou, du moins, un rebord ciliaire à la forme concave vers le haut.
Le traitement personnalisé le suivant :
• paupières supérieures: exérèse, cutanée, musculaire et graisseuse, prudente en dehors afin d’ éviter d’abaisser la queue du sourcil ;
• paupières inférieures: exérèse des poches graisseuse par incision cutanée au raz des cils. Prudence dans la partie externe pour éviter d’arrondir l’ angle externe de l’œil.
Patiente de 38 ans dont le regard est fané par :
• sur les paupières supérieures : excès cutané et graisseux , les sourcils étant bien en place ;
• sur les paupières inférieures : poche graisseuse discrète, accompagnée d’un sillon sous palpébral (jonction paupière–joue) peu marqué. Attention, le squelette qui rigidifie la paupière inférieure, encore appelé tarse, est fragile. La quantité de peau enlevée doit alors être maîtrisée.
Le traitement :
• sur les paupières supérieures : ablation d’une languette de peau, davantage en dehors, et bien dosée afin d’éviter de tirer le sourcil vers le bas et d’approfondir la paupière, ce qui n’est jamais un signe de rajeunissement. Cette erreur est encore trop souvent commise par des chirurgiens insuffisamment expérimentés;
• sur les paupières inférieures : ablation des poches par incision muqueuse interne, trans conjonctivale, sans cicatrice sur la peau et donc sans enlever de peau. Ainsi, la forme concave vers le haut du bord supérieur de la paupière n’est pas accentuée après l’intervention.
Patiente de 62 ans dont le regard est terni par un affaissement des paupières supérieures accentué sur le versant temporal associé à un aspect d’ œil rond qu’il faut « ovaliser ».
Le traitement personnalisé:
• paupières supérieures: exérèse de graisse et de peau de façon subtile, sans abaisser le sourcil ;
• paupières inférieures : exérèse cutanée et graisseuse avec remise en tension vers l’extérieur de la paupière par un lifting temporal, l’incision étant située dans le cuir chevelu es complètement invisible.
Jeune femme de 25 ans au regard assombri par :
• sur les paupières supérieures : un léger excès de peau qui est enlevé sans exérèse de graisse, ni de muscle orbiculaire : blépharoplastie supérieure dite conservatrice ;
• sur les paupières inférieures : une diminution de la tonicité de la peau qui est traitée par greffe graisseuse : nano fat.
Les sourcils sont bien fixé et en bonne place.
Blépharoplastie des 4 paupières :
• sur les paupières supérieures : exérèse d’une languette de peau, sans enlever de graisse ni de muscles, afin d’ éviter d’approfondir les paupières supérieures, ce qui détruirait le regard singulier de ma patiente. C’est ce que l’on nomme récemment, la blépharoplastie supérieure conservatrice que je réalise déjà depuis plus de 15 ans;
• paupières inférieures : exérèse d’une petite poche graisseuse par voie interne conjonctivale , sans cicatrice visible sur la peau et donc sans déformation du bel aspect d’ yeux en amande ou «cat eyes».
Jeune femme de 28 ans présentant précocément :
• sur les paupières supérieures : un abaissement des sourcils et un excès cutanéo graisseux important ;
• sur les paupières inférieures : des poches graisseuses avec un sillon séparant les paupières des joues qui commence à s’approfondir ;
Le traitement adapté est le suivant :
• sur les paupières supérieures : exérèse cutanéo graisseuse maîtrisée afin d’ éviter de trop approfondir les paupières, ce qui n’est pas souhaité par ma patiente qui a toujours eu des paupières un peu épaisses . Il ne faut surtout jamais modifier la personnalité du regard surtout chez une femme jeune qui ne le désire pas. C’est l’importance de l’interrogatoire et de l’examen de photos prises une dizaine d’années auparavant, le but étant de reproduire le même modèle;
• sur les paupières inférieures : exérèse des poches graisseuses par voie conjonctivale interne, sans incision cutanée et donc sans exérèse de peau, car le rebord ciliaire du côté temporal est un peu distendu, arciforme, concave vers le haut. Une exérèse de peau aurait eu tendance à accentuer ce défaut.
Chez cette patiente, afin d’ obtenir un résultat magnifié , il eût été souhaitable d’effectuer un lifting temporal avec rehaussement de la queue du sourcil et de l’angle externe de l’œil.
Ma patiente ne l’ a pas voulu, refusant toute modification de son regard, et comme je la comprends…
Patient de 56 ans au regard défraîchi par:
• des sourcils tombants : mais attention, il s’agit là d’une particularité de l’homme en général, où les sourcils sont différents de ceux de la femme. En effet, on retrouve chez l’homme:
• des sourcils de forme plus horizontale, beaucoup moins arciformes et situés en position beaucoup moins haute, surtout en ce qui concerne la queue du sourcil ;
• des paupières supérieures très souvent plus épaisses avec un excès de peau, même chez l’homme jeune.
Il s’agit d’ un signe de masculinisation du visage.
La remise en tension des sourcils par lifting temporal est donc rarement effectuée en dehors, tout naturellement, de la chirurgie de la transsexualité.
• des paupières supérieures:
épaisses et ptôtiques masquant parfois en partie le champ visuel, ce qui peut autoriser une prise en charge de l’intervention par la Sécurité Sociale ;
• des paupières inférieures:
surtout marquée par des plis cutanés par excès de peau, les poches graisseuse étant elles peu marquées et le squelette cartilagineux (le tarse) étant solide, sans aucune tendance à la distension et à l’ ectropion.
Les gestes personnalisés effectués ont été les suivants :
• sur les paupières supérieures : exérèse de peau importante et asymétrique car plus marquée en dehors et sur la paupière supérieure gauche. Une exérèse de graisse et de muscle a aussi été effectuée , mais de façon maîtrisée , sans approfondir les paupières supérieures qui ont toujours été épaisses , comme le confirme l’examen des photos datant d’une dizaine d’années ;
• sur les paupières inférieures :
–incision au raz des cils en ménageant les bulbes ;
–exérèse des poches graisseuses;
–ablation d’une languette de peau au raz des cils , la cicatrice étant alors invisible ;
–remise en tension de la peau, mais attention, sans déborder exagérément en dehors de l’angle externe de l’œil et sans lifter la peau vers le dehors, geste qui, certes pourrait effacer l’excès de ridules superficielles, mais qui arrondirait l’angle externe de l’œil alors qu’il doit rester toujours aigü. Un angle externe arrondi signe la blépharoplastie.
Le regard de mon patient est éclairci et rajeuni.
Homme de 71 ans uniquement gêné par deux volumineuses poches graisseuses développées aux dépens des paupières inférieures. Les sourcils tombants et l’état des paupières supérieures ne gênent pas mon patient.
Les gestes personnalisés ont été réalisés uniquement sur les paupières inférieures :
• incision au raz des cils en les ménageant;
• ablation des volumineuses poches graisseuses ;
• remise en tension de la peau par exérèse d’une importante languette cutanée. Attention : cette remise en tension doit se faire surtout selon un axe vertical, et non de façon oblique vers l’extérieur, car ce mouvement aurait pour conséquence d’arrondir l’angle externe de l’œil qui doit rester aigü. Cette erreur est commune au chirurgiens peu expérimentés:
le rebord ciliaire des paupières inférieures doit rester parfaitement horizontal (et non concave vers le haut). Il faut donc bien régler la quantité de peau à enlever pour éviter ce défaut, en tenant compte de la tonicité du «squelette » cartilagineux de la paupière encore appelé tarse.
Au total, le regard de mon patient est tonique, ravivé , avec une forme caractéristique identique à celle retrouvée sur des photos prises 15 ans auparavant.
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